Citation de Pablo Neruda

jeudi 21 octobre 2010

Des artistes ont exprimé Pablo Neruda

Cette exposition qu’Arras a eu l’opportunité, unique dans la région, de pouvoir accueillir avait la particularité d’illustrer l’œuvre du poète par des peintures et sculptures d’artistes internationaux. « Et cette exposition est expansive, disait, en la présentant, François-Xavier Muylaert, adjoint à la Culture. Elle s’enrichit, dans chaque ville, d’artistes locaux ». Il s’agissait ici de Mireille Desideri et de Jean-François Robiquet. « Les mots de Neruda sont éternels, s’accordaient à dire dans leur intervention l’attaché culturel de l’ambassade du Chili à Paris, venu spécialement, et le commissaire de l’exposition, Tito Gonzalez. Neruda a été la voix de son temps à travers ses poèmes. Elle est devenue une voix pour tous les temps ».
Lors du vernissage, le 11 octobre, Jean-Marie Vanlerenberghe a dit tout son attachement au Chili, sans y être jamais allé, parce que c’est un pays qui, en Amérique Latine, « a été une exception démocratique faisant de lui un trait d’union avec l’Europe ». Pablo Neruda, poursuivait-il, a montré que la littérature pouvait être un moyen d’entrer en politique « en considérant que l’essentiel est dans le quotidien pourvu qu’on le transfigure ». « Je veux vivre dans un monde humain, disait le poète. Seulement humain ».

dimanche 17 octobre 2010

PREMIER POÈME DE MIGUEL HERNANDEZ PUBLIÉ PAR NERUDA

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vendredi 15 octobre 2010

CENTENAIRE DE LA NAISSANCE DE MIGUEL HERNANDEZ


Miguel Hernandez en Milicien
C'est une année qui marque le centenaire de la naissance de Miguel Hernandez, une figure sur laquelle Serrat avait déjà travaillé (Miguel Hernández - 1972)
Commercialisé en formats CD + DVD. Le CD contient 13 chansons et le DVD est un documentaire d'environ 30 minutes.

dimanche 3 octobre 2010

PARA TODOS

De pronto no puedo decirte
lo que yo te debo decir,
hombre, perdóname, sabrás
que aunque no escuches mis palabras
no me eché a llorar ni a dormir
y que contigo estoy sin verte
desde hace tiempo y hasta el fin.

Yo comprendo que muchos piensen,
y qué hace Pablo? Estoy aquí.
Si me buscas en esta calle
me encontrarás con mi violín
preparado para cantar
y para morir.

No es cuestión de dejar a nadie
ni menos a aquéllos, ni a ti,
y si escuchas bien, en la lluvia,
podrás oír
que vuelvo y voy y me detengo.
Y sabes que debo partir.

Si no se saben mis palabras
no dudes que soy el que fui.
No hay silencio que no termine.
Cuando llegue el momento, espérame,
y que sepan todos que llego
a la calle, con mi violín.


Poema de Pablo Neruda en:
(I) Plenos poderes, Buenos aires, Losada 1962 (Septiembre), 88 páginas. Colección Poetas de ayer y de hoy

(2) Plenos poderes, Buenos aires, Losada 1971 (Octubre), 92 páginas. Colección Biblioteca clásica y contemporánea, número 371. Reediciones: 1974, 1977.
(3) Plenos poderes, Barcelona, Seix Barral 1977. 93 páginas. Reediciones: 1981, 1983.