«El Cuartel de la Montaña» la Caserne de la Montagne, fut un bâtiment militaire Madrilène qui a atteint une grande notoriété. Il s’agit du lieu dans lequel s'est initié, dans la capitale, le soulèvement militaire de Juillet de 1936 contre la République espagnole, qui allait déclencher la Guerre civile Espagnole.
La caserne se trouvait sur la montagne du «Príncipe Pío de Madrid», là où les troupes françaises de Napoléon ont fusillé les insurgés du 2 mai de 1808. De ces événements témoignent les magnifiques chefs-d’œuvre de Goya.Sa construction a commencé en 1860 sous la conduite d'Ángel Pozas et termine en 1863. Il s'agissait d'un édifice solide en brique et granit d'une grande sobriété, de plan quadrangulaire et deux cours, permettant d’héberger une garnison de 2.600 à 3.000 soldats d'infanterie, des ingénieurs et un groupe d'éclaireurs.
Le 19 juillet 1936, le Général de division Joaquín Fanjul y Goñi, un militaire sans commandement de troupes à Madrid, mais conspirant pour le soulèvement de la ville, est entré, habillé en civil, dans la Caserne de la Montagne
Il s’y est retranché avec 1.500 de ses hommes (dont environ 140 officiers) et environ 180 phalangistes (membres de la Falange Española, organisation politique espagnole nationaliste d'obédience fascisante) dans la Caserne de la Montagne.
On entreposait à la Caserne quelques dizaines de milliers de verrous de fusils, dont le manque rendait inutilisables les armes aux mains du gouvernement.
L'après-midi, la Caserne fut entourée par des troupes loyales au gouvernement de la République, les gardes d'Assaut, des civils et les milices populaires, faiblement armées. À l'aube du 20 juillet, le bâtiment fut bombardé. Les rebelles ont résisté seulement quelques heures, etlorsque l'aviation a été utilisée la Caserne est tombée, pratiquement détruite.
L'entrée des forces assaillants s'est soldée par la mort de la plupart des officiers (quatre-vingt-dix sur environ cent quarante) et des phalangistes. Entre 150 et 300 morts ont été comptabilisés.
Le lieutenant Moreno, de la Garde d'Assaut, qui précédait les assaillants, a réussi à emmener le général Joaquín Fanjul et son fils, lieutenant médecin, ainsi que d'autres officiers en prison. Après avoir été jugés le 15 août 1936 pour rébellion militaire contre la République, ils ont été fusillés le 17 du même mois.
La caserne se trouvait sur la montagne du «Príncipe Pío de Madrid», là où les troupes françaises de Napoléon ont fusillé les insurgés du 2 mai de 1808. De ces événements témoignent les magnifiques chefs-d’œuvre de Goya.Sa construction a commencé en 1860 sous la conduite d'Ángel Pozas et termine en 1863. Il s'agissait d'un édifice solide en brique et granit d'une grande sobriété, de plan quadrangulaire et deux cours, permettant d’héberger une garnison de 2.600 à 3.000 soldats d'infanterie, des ingénieurs et un groupe d'éclaireurs.
Le 19 juillet 1936, le Général de division Joaquín Fanjul y Goñi, un militaire sans commandement de troupes à Madrid, mais conspirant pour le soulèvement de la ville, est entré, habillé en civil, dans la Caserne de la Montagne
Il s’y est retranché avec 1.500 de ses hommes (dont environ 140 officiers) et environ 180 phalangistes (membres de la Falange Española, organisation politique espagnole nationaliste d'obédience fascisante) dans la Caserne de la Montagne.
On entreposait à la Caserne quelques dizaines de milliers de verrous de fusils, dont le manque rendait inutilisables les armes aux mains du gouvernement.
L'après-midi, la Caserne fut entourée par des troupes loyales au gouvernement de la République, les gardes d'Assaut, des civils et les milices populaires, faiblement armées. À l'aube du 20 juillet, le bâtiment fut bombardé. Les rebelles ont résisté seulement quelques heures, etlorsque l'aviation a été utilisée la Caserne est tombée, pratiquement détruite.
L'entrée des forces assaillants s'est soldée par la mort de la plupart des officiers (quatre-vingt-dix sur environ cent quarante) et des phalangistes. Entre 150 et 300 morts ont été comptabilisés.
Le lieutenant Moreno, de la Garde d'Assaut, qui précédait les assaillants, a réussi à emmener le général Joaquín Fanjul et son fils, lieutenant médecin, ainsi que d'autres officiers en prison. Après avoir été jugés le 15 août 1936 pour rébellion militaire contre la République, ils ont été fusillés le 17 du même mois.
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