Cette exposition qu’Arras a eu l’opportunité, unique dans la région, de pouvoir accueillir avait la particularité d’illustrer l’œuvre du poète par des peintures et sculptures d’artistes internationaux. « Et cette exposition est expansive, disait, en la présentant, François-Xavier Muylaert, adjoint à la Culture. Elle s’enrichit, dans chaque ville, d’artistes locaux ». Il s’agissait ici de Mireille Desideri et de Jean-François Robiquet. « Les mots de Neruda sont éternels, s’accordaient à dire dans leur intervention l’attaché culturel de l’ambassade du Chili à Paris, venu spécialement, et le commissaire de l’exposition, Tito Gonzalez. Neruda a été la voix de son temps à travers ses poèmes. Elle est devenue une voix pour tous les temps ».
Lors du vernissage, le 11 octobre, Jean-Marie Vanlerenberghe a dit tout son attachement au Chili, sans y être jamais allé, parce que c’est un pays qui, en Amérique Latine, « a été une exception démocratique faisant de lui un trait d’union avec l’Europe ». Pablo Neruda, poursuivait-il, a montré que la littérature pouvait être un moyen d’entrer en politique « en considérant que l’essentiel est dans le quotidien pourvu qu’on le transfigure ». « Je veux vivre dans un monde humain, disait le poète. Seulement humain ».
Lors du vernissage, le 11 octobre, Jean-Marie Vanlerenberghe a dit tout son attachement au Chili, sans y être jamais allé, parce que c’est un pays qui, en Amérique Latine, « a été une exception démocratique faisant de lui un trait d’union avec l’Europe ». Pablo Neruda, poursuivait-il, a montré que la littérature pouvait être un moyen d’entrer en politique « en considérant que l’essentiel est dans le quotidien pourvu qu’on le transfigure ». « Je veux vivre dans un monde humain, disait le poète. Seulement humain ».
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