Citation de Pablo Neruda

mercredi 15 janvier 2014

PAGES ARRACHÉES AUX DISCOURS DE RÉCEPTION DES PRIX NOBEL DE LITTÉRATURE



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FICTIONS / LE FEUILLETON CHEZ FRANCE CULTURE L'ÉMISSION DU  4 DÉCEMBRE 2013  « PAGES ARRACHÉES AUX DISCOURS DE RÉCEPTION DES PRIX NOBEL DE LITTÉRATURE », PABLO NERUDA .  
 DURÉE : 00:24:59 



PABLO NERUDA EN 1966.
PHOTO FRED STEIN 

De 1901 à 2013, le prix Nobel de littérature a récompensé 110 écrivains et honoré 25 langues dans lesquelles ils ont bâti leur œuvre. Tous les ans, dans  les premiers jours de décembre, les lauréats se sont succédé sous les ors de l’Académie de Stockholm. Les discours qu’ils prononcent alors ne sont en rien complaisants ou académiques ; ce sont des textes inspirés, puissants et souvent surprenants, sur la création littéraire, sur l’enjeu vital et affectif qu’elle représente.

Certains écrivains affirment l’engagement politique lié à l’acte d’écrire et de publier, d’autres convoquent de lointains et intimes souvenirs, rendent hommage aux personnages – le plus souvent obscurs et parfois illettrés-, au pays, à la langue, auxquels ils doivent leur honneur présent. D’autres encore saluent les écrivains dont la lecture a initié et accompagne leur travail. 
COUVERTURE  RÉCEPTION DES ÉCRIVAINS AYANT REÇUS LE PRIX NOBEL DE LITTÉRATURE DEPUIS 1901.
AUTEUR(S)    : EGLAL ERRERA
THÈME            : ESSAIS LITTÉRAIRES ET REVUES
COLLECTION : FLAMMARION DOCUMENTS ET ESSAIS
PARUTION     : 23/10/2013
FORMAT         : 14X20X5.5 CM
PRIX               : 25,00 €

EAN                 : 9782081307278

Ces discours ont enfin été réunis dans une anthologie publiée par les éditions Flammarion en partenariat avec France Culture et nous avons demandé à Eglal Errera – qui a dirigé et présenté cette anthologie - de choisir onze écrivains dont les discours lui semblaient indispensables, pour les donner à entendre aux auditeurs de France Culture. Du norvégien Bjørnstjerne Bjørnson (1903) au péruvien-espagnol Mario Vargas LLosa (2010), en passant par le français Albert Camus (1957), le russe Soljenitsyne (1970) ou le hongrois Imre Kertész (2002), autant de réflexions uniques sur l’écriture livrées ici à la méditation de chacun.


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