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PABLO NERUDA. AGENCE DE PRESSE XINHUA, CHINE |
Le juge Mario Carroza ne boucle cependant pas
LE MÉDECIN GUILLERMO REPETTO |
« Il existe des substances qui disparaissent très rapidement des restes osseux, nous n’écartons pas la possibilité qu’elles aient pu exister. Ce que nous disons, c’est que nous n’avons pas détecté de substance qui indique qu’il faille écarter la mort naturelle. »
Parmi ces substances volatiles, il y a le gaz sarin, un gaz utilisé par la dictature. Si le doute persiste, l’hypothèse de la mort naturelle tout de même s’impose chaque fois plus.
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